Il y a un après, évidemment. On allait pas en rester là. On a tracé directos à l’auberge de jeunesse pour le check in, possible qu’après 17h. Et ça a été compliqué. Une heure et demi. Je passe les détails mais c’était réellement fendard tellement la moindre chose devenait compliquée. Elle nous donnait de l’argent qu’elle reprenait ensuite, puis pour en redonner et en reprendre etc. Une fois ça réglée, on a pu découvrir le luxe selon Etienne : une chambre de 8m carré, sans douche, sans toilettes, sans lavabo. Tu ouvres la porte, ça tape directe dans une table. Tu passes péniblement la porte pour faire rentrer ton sac. Le lit est bien sur collé à la table. Impossible de mettre le sac à côté du lit tellement la chambre est exigue. Un conseil: ne laissez jamais Etienne choisir l’hotel pour vous Mais c’est vrai que dans le fond, on s’en cogne un peu de la chambre (disons moi plus qu’arno :p). On est pas là pour trainer dans la chambre, mais bien pour aller s’éclater les pieds dans la ville. Et c’est ce que nous avons fait. Direction Roppongi Hills. Mori Tower, histoire d’en mettre plein la vue (Tokyo la nuit, bon sang que c’est beau). Je posterai les photos bientôt. On en profite pour faire l’expo sur le codexx de devinci et on dévalise les boutiques de la mori tower. Je craque bien sur. Bitman !!!! Rien de porno là dedans, mais c’est un petit écran LED avec des anims débiles dessus. Pour s’achever, j’emmene arno dans un resto touristique (ben ouais fallait me donner des adresses sinon) : le fameux Gonpachi. C’est le resto qui a servi de sourcres d’inspiration aux décors de Kill Bill 1. Mais ça c’est pour l’anecdote. Le plus important c’est la bouffe. Et bon sang, je me suis cassé le ventre. un tartare de thon, omelette roulé, brochettes avec du boeuf japonais, fondant dans la bouche, une autre avec du thon, une dernière avec du fois gras frais avec des fraises, un pavé de boeuf japonais cuit sur une plaque devant toi (oui un vrai steak japonais !) et pour finir trois petits carrés de toffu monté en mousse avec de la poudre de thé vert dessus. OOOIIICHIIIIIIIIIII Arno a du manger une bonne douzaine de brochettes pendant ce temps là. On a arrosé l’ensemble d’une bouteille de shochu et on a pris un taxi pour l’auberge de jeunesse (vu l’heure tardive à laquelle on est parti du resto). Diantre, que c’est bon d’être gourmand au Japon.