"Prenez un crédit et barrez vous à l’étranger"

cette citation des guignols va bientôt refléter l’état d’esprit de beaucoup de Français, quand on lit ce genre d’article. Parler politque, c’est souvent vain. 14 années de Mitterandisme, une dizaine de Chiraquie, et on se retrouve à plus vouloir entendre parler de politique. Qui peut avoir envie de monter au créneau et pousser des idées rationnelles en politique ? personne, à priori. Maintenant quand Sarko déblatterre ce genre de propos, on s’offusque, on fait sa chochotte un peu et on oublie. On oublie toujours tout (et heureusement). L’homme kantien (l’homme dans sa dimension temporelle), mouais, l’oubli serait plus la valeur de l’homme contemporain (et donc nietzschéen, nécessairement). La projection dans l’oubli, l’effacement, le black out. On va finir par y arriver à la société des garçons sauvages, mais on l’aura chercher. Mais c’est pas grave, d’ici là, on aura plié bagage et on ira vivre ..ailleurs.

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